Quelques sources concernant les travaux que j’ai mentionné sur les variations non aléatoires de la toxicité des soi-disant « vaccins » de Pfizer, Moderna et Janssen se trouvent ici, sur Craig Paardekooper :

https://www.howbadismybatch.com/

9/1/2022 (modifications et ajouts du 13/1/2022)

Craig Paardekooper et d’autres ont soumis à une analyse précise la base de données américaine VAERS, dans laquelle sont consignés les défauts apparus peu après l’administration des préparations de BioNTech/Pfizer, Moderna et Janssen. Il s’est avéré que les différents lots des soi-disant vaccins présentaient un taux de toxicité extrêmement variable. Pour certains lots, la toxicité est multipliée par trois mille. Le choix de se faire vacciner équivaut à jouer à la roulette russe.

Les écarts sont si extrêmes que ces variations de toxicité ne peuvent pas être la fruit du hasard ou liées à la méthode de l’injection. Au contraire, tout porte à croire que des essais génétiques à grande échelle sont actuellement menés sur un large échantillon de la population qui n’en n’a pas connaissance, sous couvert d’une prétendue situation d’urgence, et que cela a été rendu possible, voire a été facilité, par des préparatifs politico-juridiques et le soutien des gouvernements et des autorités.

Les réglements établis qui ont exigé des études longues et minutieuses afin de parvenir à une autorisation de mise sur le marché d’un médicament, ont été suspendus sous couvert de pandémie. Maintenant on a carte blanche pour se livrer à toutes les expérimentations possibles et on y recourt abondamment. Les sociétés pharmaceutiques profitent actuellement de cette opportunité sans précédent pour pouvoir tester plus de 120 vaccins expérimentaux contre le Covid-19 en se débarrassant de l’aspect administratif. Lors de son discours au sommet de l’OMS en 2021 à Berlin, Stefan Oelrich, le PDG de Bayer, a qualifié le vaccin ARNm de « thérapie génique que 95 % de la population aurait rejeté il y a deux ans ». Surfant sur la vague de la peur, les sociétés pharmaceutiques uniquement orientées vers le profit testent actuellement tout ce qui peut être brevetés en matière de méthodes et de produits. Grâce aux campagnes de collecte de données menées en parallèle, ils n’ont aucune difficulté pour observer les effets de leurs expérimentations sans devoir en assumer la responsabilité.

La procédure accélérée d’approbation est une porte grande ouverte pour l’industrie pharmaceutique et sa frénésie experimentale. Alors que le développement de nouveaux vaccins prenait habituellement de nombreuses années (au moins cinq ans, en moyenne huit) et se déroulait graduellement selon des règles strictes, l’OMS a rendu possible « la procédure accélérée d’approbation » en déclarant l’état de pandémie mondiale. Selon la pratique précédemment en vigueur pour les études cliniques, il y avait au moins quatre phases, chacune devant fournir les niveaux de sécurité requis pour passer à la suivante. Comparez ces explications au site web du Ministère fédéral de l’Éducation et de la Recherche :

  • Les tests de phase I sont de petites études au cours desquelles un nouveau traitement est utilisé pour la première fois sur des êtres humains, qui sont en général des volontaires en bonne santé. À ce stade, les caractéristiques fondamentales, telles que la tolérance et la sûreté d’un nouveau médicament, sont examinées afin de voir s’il est adapté aux êtres humains.
  • Les tests de phase II sont un peu plus approfondis que les tests de phase I. Elles comptent généralement entre 100 et 300 participants. Lors de la phase II, un médicament est testé pour la première fois chez des patients souffrant de la maladie que le médicament doit traiter. Il s’agit d’établir le dosage optimal. En outre, on collecte les premières données sur son efficacité.
  • Les tests de phase III sont encore plus complets. Ils fournissent des informations relativement précises sur l’efficacité du médicament et sur la tolérance à ce dernier. Dans la grande majorité des cas, il s’agit d’études comparatives. Les patients qui prennent le traitement pendant cette étude sont comparés à un groupe de contrôle qui reçoit un autre traitement.
  • Les tests de phase IV ont lieu lorsqu’un médicament est déjà sur le marché. Différents motifs justifient les tests de phase IV. Par exemple, il peut être utile d’étudier à nouveau un médicament déjà autorisé chez des patients présentant certaines caractéristiques. Les tests de phase IV permettent en outre de mieux évaluer les effets secondaires inhabituels d’un médicament, car un plus grand nombre de patients est traité.

En fait, les injections Moderna, BioNtech-Pfizer, Janssen ou AstraZeneca devraient être en test de phase IV (étude post-marketing/d’observation) après leur « autorisation conditionnelle de mise sur le marché ». L’autorité allemande de réglementation des médicaments, l’Institut Paul-Ehrlich (PEI), définit l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle ainsi (en italique sont les notes de l’auteur) :

« Une autorisation de mise sur le marché conditionnelle est une autorisation soumise à certaines conditions. Elle peut être accordée pour un médicament, dans l’intérêt général de la population :

– lorsque le bénéfice de la disponibilité immédiate du médicament l’emporte sur le risque de disposer de données moins nombreuses que celles normalement requises. (Où se situe l’équilibre entre les avantages et les inconvénients ?)

– lorsqu’il s’agit de traiter ou de prévenir une maladie potentiellement mortelle. Cela comprend les médicaments pour traiter les maladies rares, (le COVID-19 n’a pas infecté ou tué plus de gens qu’une grippe normale).

– lorsque l’Agence Européenne du Médicament [CHMP] constate que toutes les conditions suivantes sont remplies :

  • Une balance bénéfice-risque positive du produit, c’est-à-dire que les avantages pour la santé publique découlant de la disponibilité immédiate du médicament sur le marché l’emportent sur les risques liés à la fourniture prévue de données supplémentaires. (n’est pas démontrable et n’a pas été démontré)
  • La société pharmaceutique soumet les données complètes à une date ultérieure. (quoi ? quand ? voir les données VAERS)
  • Un besoin médical non couvert est satisfait (ce n’est manifestement pas le cas, au contraire, des erreurs massives de traitement ont été et sont encore commises, causant ainsi des dommages sur la santé des gens). Les autorisations conditionnelles sont valables un an et peuvent être renouvelées chaque année. Elles peuvent être pleinement approuvées.

Bien que la procédure « accélérée» des phases de tests soit rapprochée, il faut évidemment déterminer, dans le cas d’un candidat en attente de test, quels ingrédients le médicament doit contenir,  et tous les médicaments autorisés doivent avoir un contenu identique. Les échantillons conservés de chaque lot doivent être documentés tout comme des contrôles réguliers doivent être effectués par les autorités de contrôle des médicaments.

Interrogé à ce sujet, le PEI a toutefois indiqué qu’il n’effectuait pas lui-même ces examens de contrôle des médicaments, mais qu’il se fiait pour cela aux contrôles de qualité et aux rapports obligatoires que les fabricants sont tenus d’effectuer.

À ce jour, l’Institut Paul-Ehrlich n’a pas répondu à une demande effectuée en vertu de la loi sur la liberté d’information concernant le contrôle du contenu des lots de vaccins COVID-19 datés du 15 octobre 2021. Comme pour d’autres mesures contre le COVID-19, les preuves et la transparence ne semblent pas être de mise. Entre-temps, plusieurs équipes internationales de chercheurs ont examiné systématiquement la base de données américaine sur les effets indésirables (VAERS) et ont découvert, le 31 octobre 2021 déjà, que tous les effets indésirables graves et les décès signalés aux États-Unis n’étaient imputables qu’à une toute petite partie des lots (rapport du site officiel VAERS). Aujourd’hui, de plus en plus de résultats similaires sont mis en lumière, révélant des corrélations effrayantes.

La base de données VAERS a fourni des preuves de l’existence de lots de vaccins aux effets très variables. Elle contient des indications sur les effets indésirables associés à chaque lot. Il était donc évident de créer un graphique montrant comment la toxicité des lots a varié dans le temps et l’espace en 2021. Ces diagrammes démontrent le moment où les lots toxiques ont été utilisés et leur taux de toxicité. Certains éléments indiquent que les firmes pharmaceutiques semblent s’être concertées (pour ne pas interférer avec le laps de temps imparti à chacune d’elles ?). Enfin, on peut même deviner le but de ces répartitions, par exemple pour vérifier les effets des différents dosages (blessures, décès, etc.)

L’ancien directeur scientifique de Pfizer, Mike Yeadon, commente :

« Quant à l’intention de causer des dommages, voire de causer la mort, j’en suis convaincu. Je ne suis pas le seul à le dire: plusieurs analystes totalement indépendants sont d’accord sur ces points :

1) Nous sommes plusieurs à penser que toute l’affaire des lots incriminés indique une intention, mais on doit bien comprendre les données. L’analyse initiale de Craig Paardekooper est sur un certain point fausse. Il a fait correspondre à tort, mais de manière compréhensible, la numérotation des lots à l’ordre chronologique de leur sortie. Ce n’est pas correct. Ces schémas, qui me semblent être une relation dose-effet illustrée au fil du temps, avec des entreprises qui ont l’air de se concerter pour ne pas se gêner mutuellement, sont le résultat de cette hypothèse non fondée.

2) Cependant, ces numéros de lots et les taux d’effets indésirables graves associés sont RÉELS, et disponibles dans le VAERS. Pfizer peut, par exemple, extraire les données relatives à ses lots et les comparer aux taux d’EIG (taux d’effets indésirables graves), et il en résulterait des graphiques très similaires à l’évaluation de Paardekooper.

3) Nous pensons que c’est intentionnel, car les schémas d’EIG associés aux numéros de lots ne sont pas aléatoires. Les EIG de chaque lot varient de manière gigantesque et cette variation ne peut être expliquée par des facteurs anodins. Par exemple, l’instabilité et la détérioration du produit ne peuvent pas produire ces effets. En général, la dégradation entraîne une perte d’activité plutôt qu’un accroissement de la toxicité. On pourrait argumenter que c’est peut-être l’exception à la règle. Je démontre que ce n’est pas possible, car le même schéma inhabituel, d’un faible pourcentage des lots extrêmement toxique est observé pour trois produits utilisant deux technologies (ARNm et ADN). C’est intentionnel et les entreprises doivent le savoir.

4) Les événements indésirables par lot sont d’un ordre de grandeur bien supérieur à ceux de tout autre produit comparable (vaccin contre la grippe) et la variabilité d’un lot à l’autre est telle qu’on ne peut pas supposer que tous les flacons contiennent le même produit.

5) Nous avons vérifié les tailles de lots pour 33 lots de Pfizer, et il n’y a pas ou très peu de corrélation avec la taille des lots : il y a clairement autre chose. (souligné par WW)

6) Il s’ensuit que ces produits doivent être considérés comme des CONTREFAÇONS, que ce soit intentionnel ou accidentel. Pfizer ne peut notamment pas prouver que ce qu’il présente comme son produit est ce que les flacons contiennent réellement et  est le même d’un produit à l’autre. Cela constituerait déjà un délit, même s’il n’y a pas d’intention. » (message personnel)

Il est alarmant de constater que les trois entreprises mènent des études similaires avec une toxicité considérablement accrue des vaccins. Elles procèdent apparemment de manière à ne pas se gêner mutuellement et répartissent leurs expériences toxiques de manière à ce que cela ne se remarque pas à première vue.

Les études de détermination de la dose que l’on soupçonne maintenant aux États-Unis auraient normalement dû être terminées bien avant les tests d’autorisation de la phase III (voir ci-dessus). Elles auraient dû être menées avec un nombre très limité de volontaires bien informés, comme des tests de phase II.

C’est pourquoi je soupçonne fortement que la fausse pandémie est utilisée pour essayer beaucoup de choses qui, autrement, auraient été trop risquées et non autorisées.

Les « préparations salines » intermédiaires ont cinq effets pour les entreprises :

1) Ils diluent les effets secondaires autrement alarmants.

2) Ils coûtent peu et rapportent quand même le prix fort.

3) Ils fournissent les groupes de contrôle que Big Pharma aurait sinon dû payer très cher aux phases II ou III.

4) Ils sont également entièrement financés par l’argent des contribuables.

5) Les risques de ces études « télescopiques » sont soutenus par les pouvoirs publics.

Mais nous avons maintenant, grâce au VAERS, des preuves évidentes de l’existence de structures d’études étendues et  planifiées seulement après l’approbation des vaccins de masse mandatés et financés par le gouvernement avec des produits entièrement nouveaux de Biontech, Janssen et Moderna.

Ceci est interdit et punissable et enfreint clairement le code de Nuremberg et toutes les lois relatives à la conduite d’études et la commercialisation de médicaments. Il ne s’agit manifestement pas d’un oubli ou de négligence quant à la qualité, mais d’un délit planifié. Dans cette phase de corruption institutionnelle, de nombreuses entreprises pressentent d’immenses opportunités et annoncent déjà à leurs investisseurs une pérennisation de l’engouement pour l’ARNm à haut risque pour la santé. L’intérêt premier d’une société pharmaceutique est, par nature, la réussite économique et non la santé. La question de savoir si d’autres substances, comme l’oxyde de graphène ou d’autres nanoparticules, jouent un rôle dans les études télescopiques en cours, fait l’objet de nombreuses discussions depuis quelques mois, après la découverte de celles-ci dans des injections. De nombreuses personnes ne font plus confiance aux  résultats des études ou même aux médicaments commercialisés. Cela me semble justifié, car même la recherche de médicaments contrefaits ou frelatés menée par un département d’Interpol spécialement créé à cet effet est cofinancée par l’industrie pharmaceutique.

Sous le terme de « telescopic approval process », les niveaux de sécurité des phases de tests sont mis à mal avec l’approbation officielle en cas de « COVID ». Mais ce n’est pas tout.

Même la surveillance stricte et la documentation transparente et planifiée des contrôles du contenu des lots, qui sont par ailleurs courants en phase IV (post-commercialisation), sont apparemment entièrement laissées aux sponsors, c’est-à-dire aux sociétés pharmaceutiques. Sous prétexte de faire muter des agents pathogènes, elles peuvent même utiliser de nouvelles formules (séquences d’acides nucléiques ?). Apparemment, dans le cadre d’une procédure non transparente, tout peut être testé sur tout le monde, sans avoir besoin du consentement éclairé d’un comité d’éthique ou même des patients concernés quant aux risques ou à l’état de la recherche et de ses risques à chaque fois. En tout cas, les millions de volontaires ne sont pas informés correctement ; ils sont même forcés de participer sans avoir de précisions. Tout cela n’a jamais été autorisé et constitue un crime, comme cela a été le cas par exemple lors du procès de Nuremberg. L’invention du telescopic approval process s’avère être une astuce dont  la sécurité fait les frais. Mais cette astuce devient un crime lorsque des millions de personnes qui n’ont connaissance de rien doivent risquer leur vie dans le processus.

Craig Paardekooper, un des chercheurs, a mis en ligne une base de données, qui est difficile à trouver sur Google. À l’adresse https://www.howbadismybatch.com/, vous pouvez désormais vérifier par vous-mêmes quels lots ont provoqué combien d’effets secondaires ou de décès.

Pour sa propre sécurité, toute personne souhaitant se soumettre à la vaccination dite contre le COVID-19 , malgré son grand potentiel de nocivité qu’on connaît désormais, avant le traitement génétique, devrait demander à son médecin ou à son pharmacien quels sont les effets connus des lots utilisés par cette société. Si les médecins et les pharmaciens doivent faire des recherches à ce moment-là, il est possible qu’ils prennent conscience de leur responsabilité en tant que parties potentiellement responsables.

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Complément: l’importance de la date de péremption d’un lot

(Traduction d’un message de Craig Paardekooper du 9/1/2022)

Nous avons donc une liste des dates de péremption de tous les lots de vaccins. Et alors ? Voici pourquoi cette liste est importante…

Le gouvernement met à la disposition des professionnels de santé une liste des dates de péremption de tous les lots de vaccins. Cependant, les centres pour le contrôle et la prévention des maladies gardent cette liste secrète du grand public (je me demande bien pourquoi). Mais un contact m’a transmis cette liste. J’ai remarqué que les lots figurant sur la liste de péremption sont TOUS ceux qui présentent le plus grand nombre de rapports de réactions indésirables dans chaque groupe alphabétique. Je me suis demandé pourquoi il en était ainsi. Pourquoi aucun des autres lots ne figurait sur la liste de péremption, ceux qui n’avaient qu’une poignée d’effets indésirables ? (J’avais auparavant supposé que les autres pouvaient être des placebos)

Il m’est alors venu à l’esprit que seuls les lots biologiquement actifs seraient sur la liste de péremption, car une dégradation des ingrédients biologiquement actifs poserait un plus grand danger que la dégradation d’un placebo.

C’est peut-être la raison pour laquelle les centres pour le contrôle et la prévention des maladies ne voulaient pas que le public se procure cette liste. Il ne la communique qu’aux professionnels de santé, pour des raisons de « sécurité » parce qu’elle révèle lesquels sont des placebos et lesquels sont biologiquement actifs.

Si un lot ne figure pas sur la liste, est-ce donc un placebo ? (?)

Nous avons donc maintenant une liste de tous les lots biologiquement actifs. C’est évidemment une information importante pour les personnes qui essaient d’éviter les lots toxiques. Il suffit de vérifier votre lot à l’aide de la liste des dates de péremption. S’il n’y figure pas, il s’agit probablement d’un placebo.

Remarque : n’oubliez pas que de nouveaux lots sont introduits, qui peuvent ne pas figurer sur la liste existante ; et que même parmi les lots biologiquement actifs, il y a encore des différences considérables en termes de toxicité : un mauvais lot peut ne pas avoir le même taux de toxicité qu’un autre.

Remarque : cette liste des dates de péremption peut ne s’appliquer qu’aux lots américains. Elle peut ne pas s’appliquer aux lots européens, qui ont souvent des codes de lots différents.

Remarque de Wodarg :

Et une fois de plus, nous vous demandons de parler de ces lots là où vous vous ferez vacciner, si nécessaire, et insistez pour que votre vaccin provienne d’un lot qui ne provoque que peu d’effets secondaires.

Publié à l’origine sur le site du Dr Wolfgang Wodarg.

Le livre Fausses Pandémie de Wolfgang Wodarg est disponible ici.

Conférence de la commission d’enquête Corona à ce sujet, entre autres (allemand/anglais) :