MOURIR DE CE QU’ON EST VIVANT

André COMTE SPONVILLE est l’un des philosophes français les plus influents de sa génération. Nourri de sagesse stoïcienne, toujours accompagné de son cher Montaigne, il analyse les dérives du panmédicalisme et du « sanitairement correct » que la gestion de la crise nous a imposés. Nos sociétés auraient-elles oublié que l’homme, avant de mourir de ce qu’il est malade, meurt de ce qu’il est vivant?




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